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Balzanes trois, cheval de roi !
Balzanes trois, cheval de roi !
  • Cheval mon cher souci ! Le blog de la cavalière qui avait très peur de faire du saut d'obstacle et qui finit par y prendre goût ! On saute, on dresse, on fait les andouilles dans la nature. Avec mon petit Prince alias le Pouic et Pinogris alias gros Noup',
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Balzanes trois, cheval de roi !
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26 janvier 2006

Dressage...

dsc02246Le dressage m'a toujours fascinée. J'ai monté un peu à cheval lorsque j'avais 12 / 13 ans. A l'époque, on ne passait pas des numéros de galop, mais des degrés, bronze, argent, vermeil. Chaque degré étant scindé en étrier puis éperon. Lorsque je dus arrêter l'équitation pour problèmes de santé, j'étais donc titulaire de l'éperon de bronze et je montais depuis peu dans une reprise étrier d'argent. Nous étions une quinzaine par cours et je dois avouer que nous passions plus de temps à éviter de rentrer dans le séant de notre petit (ou gros) camarade de devant qu'à nous lancer dans des délires créatifs... Et pourtant, déjà, ce que dont je rêvais, c'était de déplacer ma monture sur deux pistes. J'avais dû voir une fois un appuyer, et l'événement m'avait marquée... au fer rouge. Irrémédiablement.

Pas question à cette époque de rêver d'un cheval rassemblé, je ne savais pas ce que c'était. Je n'avais d'ailleurs pas entendu le terme. En revanche, j'avais compris qu'il existait une façon plus confortable de monter. Autant pour le cavalier que pour son cheval. " Sur la mdsc02025ain " ça s'appelait. Mon Saint-Graal ! J'admirais les éperons d'argent dont la monture portait haut la nuque, et acceptait moëlleusement la flexion jusqu'à placer le chanfrein verticalement. " En plus, c'est plus confortable quand on trotte ", nous racontions-nous entre jeunes cavaliers du même âge.

J'ai repris l'équitation à 28 ans, âge auquel j'ai rencontré Prince. Je ne sais toujours pas vraiment ce qu'est un cheval " sur la main "... même si Monsieur Pouic accepte parfois la position verticale. Car entre " sur la main ", ramené... et l'étrange Rollkür qui me semble aux antipodes de la logique, je viendrais presque à y perdre mon latin. Comment puis-je sentir que mon cheval est " sur ma main ". Ne s'appuie-t-il pas afin que je le porte ? C'est que c'est malin ces grands machins-là !! Et moi, j'ai si peur de me fourvoyer. Travailler seule et sans miroir... gross Malheur !!


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