Chevaux de vacances... y'en a d'autres !!!
Terribles vacances où pas une crinière ne rôde dans les environs de la grande quiche... Alors, dans la série, les Ersatz expliqués aux non cavaliers... un beau musée à Paris, réservé, non pas aux fanas des chevaux, mais à ceux des cultures asiatiques.
On y trouve donc les représentations de Buddha indiens ou autre Bodhidharma, des poissons afghans, des gardes de sabres japonais, de magnifiques paravents, et puis, il y a... ça !
Ca, ce sont les petits chevaux chinois de l'époque Tang (entre 618 et 907 après JC si Wikipédia ne dit pas de bêtise !)
Depuis ma première rencontre avec un cheval tang, je ne suis plus la même ! Qu'y puis-je si j'aime leurs petits yeux globuleux, leurs physiques croupus (on dit bien fessu, je vais me gêner pour le croupu, hihi !) et leur air rigolard. Pas à dire, un cheval tang, ça a de la gueule !
Le cheval tang fait du CSO (voir notre document).
Le cheval tang rigole quand il n'a plus son cavalier sur le dos.
Le cheval tang garde le sourire, même quand ses maîtres lui ont mis une tenue ridicule.
Le cheval tang a une vraie belle queue en vrais crins et se la pète grave !
Bref, le cheval tang est bien rigolo, et le jour où je trouve une copie d'une de ces petites statues de terre cuite (je les préfères aux chevaux laqués), je crois que je ferai une folie !
Et un jour, si vous êtes sages, je vous raconterai ma première rencontre avec un vrai cheval tang !