23 juillet 2009
Un petit coup de main
Comme Nicolas me l'a indiqué, j'ai monté mon cheval avec mon enrênement pour pouvoir trotter sans avoir à m'occuper de mes mains. C'est que Pinot est certes charmant, mais lorsqu'il est ouvert, je me tape les fesses dans les plus grandes largeurs.
Ce qui, je trouve, n'est plus trop le cas au galop où j'ai l'impression d'envoyer mon nombril vers le haut et en avant et de regarder loin... comme dans un rêve.
Ce n'est pas le cas au trot sauf là. L'enrênement m'aide bien et je ne suis pas en train de retenir le Pinot pour ne plus rebondir sur son dos. A force de petites séances ainsi, après les bons tours de galop qui réussissent bien à gros Noup, je vais finir par y arriver. Tout doucement.
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